Bonjour chers lecteurs et chères lectrices !

Je suis actuellement en mode prospection et démarche à grande échelle, pour trouver des endroits pour réaliser des séances de dédicaces, et aller à la rencontre de lectrices et lecteurs pouvant découvrir mes ouvrages.

Je vous garantis, ce n’est pas une mince affaire. Ahahah !!
Mais il faut savoir persévérer. ;*)

Ceci n’est qu’une partie du tableau de prospection. En rouge, les refus catégoriques, aucune souplesse de cœur et d’esprit. La plupart des gens ont bien du mal à comprendre la difficulté que peuvent éprouver les auteurs, surtout jeunes et encore méconnus.

Je me suis organisé une carte d’approximation, pour voir les régions que j’avais plus pratiquée que d’autres. Enfin, surtout, les régions où les structures sont bien plus ouverte à accueillir des auteurs. Ainsi, vous pouvez vous faire un ordre d’idées des périmètres où se situent les ouvertures culturelles, et ceux qui en sont dépourvus.

Les petits ronds ce sont les endroits où j’essaie de prospecter le plus pour trouver des ouvertures, mais ouch ! pas évident…

Je me base sur une distance de 2 heures maximum autour de chez moi, car l’essence de nos jours n’est pas donnée. Mais je déborde souvent, à un maximum d’environ une demie heure de trajet en plus.

De ce que j’ai pu remarquer avec tous les auteurs que je croise, et des discussions que nous abordons, il n’est pas question de type d’ouvrage qui marcherait plus qu’un autre. En finalité, ce n’est pas tant la nature du genre de l’ouvrage qui porte ses fruits, mais la prédisposition qu’on les gens à vouloir lire et se cultiver.

On remarque tout de même que la société de nos jours à bien mis au rebut la culture générale, comme les finances qui, jadis, permettaient de promouvoir son agencement qualitatif.

Nous, les auteurs, nous efforçons de relever le niveau, à offrir de quoi se divertir et affiner notre cognition, mais il est bien délicat de le faire dans un monde où, avec dépit, on constate que beaucoup de portes se ferment.

Mais nous garderons, quoi qu’il arrive, le flambeau fermement tendu dans nos mains assurées, afin de pouvoir dispenser tout autour de nous les valeurs qui sont les nôtre, la culture générale.