
La rencontre de Karrimnbà
Dans la première rencontre de la scène 1 du chapitre 2 – Le changement de paradigme – dans le récit du Tome 2 de la saga, nous découvrons Karrimnbà, un jaguar noir somptueux.
De sa rencontre d’avec Amîha, éprouvant sa mère Finièce, ils communient ensemble dans une télépathie de tendresse des richesses d’Âmes qui se reconnaissent.
Il représente, pour Amîha, sa connection avec l’Essence animale ; son alliance avec la nature, de sa vibration de jeune femme très fusionnelle avec la faune et la flore. Il incarne la part de la faune évoluant sur les sols et les terres d’Urzià.
Dans le récit, Amîha, de son association subtile d’avec les éléments de la nature, aura à rencontrer des animaux qui lui serviront de guide pour parfaire les connaissances sur elle-même.
Et c’est alors au creux de la forêt amazonienne, sur le mont Machu Picchu, qu’elle aura le plaisir de rencontrer cet Être de sagesse. Elle y trouvera ainsi une belle amitié qui raffinera ses relations sur la nature mammalienne de la vie.
Précision du choix de l’auteur dans le récit.
À l’origine, je voulais faire assimiler à cette jeune héroïne 3 animaux, représentation de l’eau, de l’air, de la terre, mais aussi la part du feu et de l’éther (le 5ème élément). De ces deux derniers que l’on ne peut pas représenter au travers d’un animal (si ce n’est la salamandre).
La volonté première était de marier son association avec ceux qui volent, ceux qui nagent dans les eaux, et de ceux qui évoluent sur le sol. Ainsi, seuls 3 animaux étaient nécessaires à cette réalisation. Je n’avais pas choisi spécifiquement d’animaux précis pour cette organisation, juste les Êtres présentés se sont tout naturellement affichés dans l’imagerie de la chose.
Le récit étant énormément orienté sur la forme féléïdé (la nature féline), j’avait besoin alors de représenter un animal qui corresponde à ce choix représentatif. Le jaguar m’est alors venu. Ce qui est amusant, c’est qu’à aucun moment je n’ai voulu faire de référence à un animal qui soit spécifiquement associé à la nature de l’environnement dans lequel j’avais choisi de l’incarner.
Il faut savoir également que mon nom, du côté maternel, est Chaton. De fait, j’ai une association très forte avec les féléïdés, et les Urmas également.
Alors vous allez voir comme la vie et ses synchronicités nous place juste ce dont nous avons besoin, pour que tout se coordonne au plus juste sans que ce soit notre mental qui joue son rôle d’expertise.
Donc, j’ai choisi un jaguar qui, au début, m’apparaissait comme étant une panthère. Une problématique m’est de fait venue : jaguar ou panthère ? De ma méconnaissance, je ne savais pas que tout ceci s’associait. En effet, une panthère n’est autre qu’un jaguar (Panthera onca) dont la mélanine à mutée pour générer un poil très noir, ou plus sombre que le poil jaune orangé du jaguar à l’origine. Donc, en réalité, tout était ok.
Puis, le lieu ; cette rencontre a lieu au tout départ à côté de Lima au Pérou, dans la forêt amazonienne, dans cette abondance florale magique. Puis, Amîha retrouve ensuite cet animal qui se nomme Karrimnbà au mont Machu Picchu alors qu’ils s’y rendent avec son groupe, et qu’ils y rencontrent de nouveau l’archéologue Sadjinņ avec sa fille Maëlys et leur amie Mignônie.
Et voilà ce que j’ai appris dernièrement.
Que représente le jaguar ?
Le jaguar est considéré comme étant une icône de la forêt amazonienne, incarnant le Roi des félins et le plus grand prédateur du continent Américain.
Il est vénéré depuis des millénaires dans les cultures amérindiennes et précolombiennes, où il symbolise la force, le courage, l’intégrité et la connexion avec la « terre-mère ».
Pour de nombreuses communautés autochtones de Guyane, le jaguar est un animal sacré qu’on ne tue pas, et sa présence est respectée comme un signe de l’Âme de la forêt.
Son image est omniprésente dans les mythes et légendes, les temples et les pratiques spirituelles, notamment chez les Mayas, les Aztèques et les Incas.
En dépit de sa réputation de prédateur redoutable, le jaguar est également perçu comme un gardien de la biodiversité, incarnant l’équilibre entre vie sauvage et environnement.
Son habitat principal est la forêt tropicale amazonienne, où il se fond grâce à son pelage tacheté, composé de rosettes qui lui permettent de se camoufler efficacement.
Le jaguar noir est parfois confondu avec la panthère noire. Celle-ci n’est pas une espèce à part : il s’agit plutôt d’un terme populaire pour les jaguars, comme pour les léopards, qui ont une pigmentation sombre à cause d’une plus grande concentration de mélanine. Ces deux grands félins noirs font partie du genre Panthera.
Conclusion de plaisance !
Ainsi voici comment la vie m’a placé juste ce qui était nécessaire à alimenter mon récit, avec la richesse de la sagesse et des liens entre les éléments. C’est juste somptueux : le lien à la mère-terre, cela fait partie d’un de mes sujets ; les accoutumances avec les anciens peuples de l’Amazonie, ceci en fait aussi partie ; le respect de cet animal comme étant un Être de sagesse et de préservation, respecté et protégé, ceci est également une affiliation de mon récit.
Alors, clairement, en découvrant comme la vie me porte, je ne peux que lui rendre une immense gratitude de me choyer de la sorte. C’est juste magnifique. Tout ceci me fait vibre au plus haut niveau.
Véritablement, merci !
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