SYNOPSIS
Cette histoire étéopique* nous montre comment notre monde aurait pu être, si les conquêtes de l'Amérique n'avaient pas eu lieu, et si les autochtones avaient grandi en sagesse et en culture. Si tous ces peuples avaient organisé l’évolution d’un grand et vaste pays, aussi riche de sa nature que de ses relations. Imaginez que tout ce grand continent Américain, avec le Canada et le Groenland, avait pu former deux grandes nations porteuses, sans que d’autres peuplades extérieures ne soient venues prendre possession de leurs terres.

*Étéopie : Représente quelque chose de possiblement réel, vrai.

Et dans la globalité de ce monde, sur cette planète, visualisez comment la vie aurait pu être, si au grand jamais l'énergie fossile n'avait été puisée sur notre si belle planète. Si l’alimentation des logis, des sociétés, des véhicules, ou de tout autre moyen de faire ou produire avaient fonctionné d’une manière différente, laissant ainsi la nature à son exacte richesse, sans la souiller, sans l’exploiter de manière virulente.

Plongeons-nous dans une réalité qui pourrait être la nôtre, là où nous serions en train de circuler, avec des navettes fonctionnant à l’énergie libre, à l’Éther, de ces forces électromagnétiques-sensibles qui organisent notre monde.

Et c'est ici alors, sur cette planète aux saveurs préservées, que nous suivons Amîha dans ses aventures, accompagnée de Sodiam et de quelques-uns de leurs compagnons, sur ce monde parallèle imaginaire, mais ô combien réaliste, où nous découvrons nos potentiels, et les qualités subtiles latentes qui sommeillent en nous depuis de si nombreux siècles.

Ce roman nous parle d'amour, autant dans les relations amicales qu'affectives. Mais il nous parle aussi de l’Amour dans sa substance la plus pure. Il nous parle d'aventure, dans des découvertes aussi bien archéologiques que géologiques, en portant une touche particulière sur les découvertes subtiles et spirituelles en l'Être. Il nous plonge dans un domaine de la science-fiction, rejoignant de près la réalité, dans une forme étéopique* toute spécifique.

Cette saga se veut inviter les lecteurs/lectrices à se découvrir eux-mêmes, au travers des caractéristiques de tous ces personnages qui embellissent les révélations de ce monde, qui se veut être en harmonie d'avec les lois de la nature, d'avec le respect du vivant.
Vous serez emportés dans des prises de risques, des prises de conscience, de l'observation de soi, à travers l'autre, de la graine de l’empathie qui réside au fond de votre cœur, de l'émerveillement dans la magie des sens, et de la complaisance, dans la rencontre de tout ce qui participe à alimenter cet environnement particulier.

Ce sera un confort en vous alors, que de découvrir ce potentiel enrichissement d’une autre fenêtre d’observation, de la quintessence de la réalisation plausible d’un monde qui s’accorderait avec nous-mêmes, qui ne peut être que le fruit de notre volonté. De nos choix, de l’orientation que nous pouvons être amenés à faire de la vie. Nous sommes les réalisateurs de notre environnement, et c’est dans ces visions étéopiques, que nous agissons pour construire un monde qui est de convenance pour le bien être de nos existences.

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*Étéopie : Représente quelque chose de possiblement réel, vrai, ou de ce qui pourrait l’être si les évènements de l’évolution de la vie avaient pu en être autrement. Montrant la possible construction du monde sur un modèle technologique et spirituel bien plus avancé, encore réalisable de nos jours. Ce mot est une représentation littéraire à partir de 2023, et il est l’antinomie de l’utopie et de la dystopie. Wiktionnaire.

Ce mot est composé de la racine grecque dont le préfixe est étéos (ἐτεός), (adj : rare) vrai, réel, (n. sg.) adv. vraiment, en vérité ; avec la terminaison dérivée du mot grec tópos (τόπος) (lieu) ; formant eteopia (ἐτεόςπία), ramené à la langue française en étéopie, littéralement parlant (le lieu vrai, réel).

Il n'est pas à confondre avec l'utopie ou la dystopie, qui représentent tous deux des structures bien différentes :

L’utopie vient de l’anglais utopia, qui est un mot inventé en 1516 par Thomas More, dans son livre « Utopia ». Dans le sens courant, une utopie est un projet d'organisation politique, ou un idéal qui ne tient pas compte des contraintes de la réalité, ou de faits objectifs. Par extension, c'est un projet ou une idée qui apparaît comme irréalisable, idéaliste, illusoire ou chimérique.

Il est construit à partir du grec ancien dérivé de tópos (τόπος), (lieu) ; avec le préfixe οὐ-, ou- (non) ; littéralement οὐτοπία (qui n’est - en aucun lieu).

La Dystopie est une fiction se plaçant dans un univers déshumanisé et totalitaire, dans lequel les rapports sociaux sont dominés par la technologie et la science. Il s'agit en réalité d'un discours officiel qui clame que le système en place est le meilleur qui soit, et qu’il s’applique de façon intégrale et idéologique. Son origine vient des ouvrages tels que « 1984 » de George Owell de 1949, ou encore de « Soleil Vert » de Ray Bradbery réalisé en 1966.

Il tient du dérivé de l’anglais dystopia, mot forgé sur la racine grecque ancienne de dystopia (δυστοπία), composé de dys (δυσ), (mauvais, anomalie, difficulté, erroné), et de topos (τόπος), (endroit, lieu, place), littéralement (mauvais endroit, mauvaise place).

Citation de l’Auteur

ˮ Que la souplesse de ton Cœur t’offre la vertu de la justesse des mots ! ˮ

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