Tome 1 – Chapitre IV
Les découvertes et le retour des richesses oubliées
Scène 10
– Arrivée au Nil, soirée dégustation –

À peine étaient-elles installées sur les bords des étendues du Nil, qu’elles venaient seulement de déposer leurs quelques légères affaires, que Finièce et Amîha prirent les sokuizs (petites navettes), qui avaient été mis à leur disposition pour découvrir les merveilles qui entouraient les rives de ce grand fleuve mythique.
Amîha « C’est délicieux de se balader en ces lieux mam ! On se sent tellement légères avec cette brise douce et chaude à la fois, que j’aimerais passer tout mon temps de notre séjour à me promener au travers de ces décors magiques.
En plus, je suis trop contente de conduire ces trucs, ça m’éclate. ».
Finièce « Oui ma chérie, je me doutais que cela nous serait agréable au possible. Nous avons bien fait de venir faire un tour juste après notre arrivée. Ça aurait été dommage de nous enfermer dans nos chambres à attendre simplement le repas du soir.
Mais quoi qu’il arrive, nous aurons largement le temps de parcourir tous ces lieux magiques. Et je pense qu’il nous sera gratifiant d’aller voir cela avec les autochtones qui connaissent les moindres recoins les plus magnifiques à contempler. ».
- « Ouuuhh que oui ! Tu as toujours de supers bonnes idées ma mam adorée. Qu’est-ce que je t’aime quand tu me fais vibrer le cœur avec des pensées aussi réjouissantes. ».
Finièce se mit à rougir, et son corps s’allégea derrière les mots que sa progéniture lui déversait avec tendresse. Elle percevait qu’avec Amîha elle pouvait se sentir toujours en accord et en parfaite harmonie, que tout ce qu’elle pouvait formuler était aussitôt accompagné par un reflet réconfortant. Elle se rendait bien compte que ces agencements dans ses formules n’étaient pas réfléchies dans l’instant, qu’elle en captait les mots au même moment où elle les formulait à sa progéniture, et que celle-ci lui en faisait toujours un retour gratifiant. Mais elle s’apercevait également que, pour elle aussi, cette même expression faisait résonner cette impression en elle. C’était comme si, pour elle, elle semblait se fondre dans Amîha et se parler à elle-même.
Quel doux sentiment, le cœur et la richesse des partages entre elles étaient toujours nourrit par une telle allégresse, qu’elle avait l’impression d’être sur un petit nuage au velouté qui la faisait fondre en elle. Néanmoins, elle ne pouvait s’empêcher de venir la taquiner quelque peu.
- « Ah bon !? Parce qu’au-delà de ça tu m’aimerais un peu moins ? », lui fit Finièce avec le regard amusé.
- « Pfff arrête un peu ! Tu te joues de moi, tu sais très bien que tu es plus que cher à mon cœur. », lui reprit-elle en lui tirant la langue à la suite de ses mots, tout en avançant sur leurs engins des sables.
Finièce - « Il va bientôt être l’heure de manger par contre ma chérie. Tu n’as pas un peu faim ? ».
- « Ah que oui ! maintenant que tu m’en parles, je sens que mon petit ventre aimerait relativement et certainement se remplir. Je pense, oh oui je pense, qu’on devrait aller dégoter des plats régionaux. Je ne sais pas pourquoi, mais ça vient de m’en faire l’expression, comme si une impulsion venait nous inviter à cela. ».
- « Oh ! eh bien tu sais, je pense qu’on va pouvoir donner résolution aux nécessités de ta volonté palpitante. Nous trouverons dans cette région des choses qui pourront certainement satisfaire le besoin de découvrir de nouvelles saveurs, qui arriveront probablement à égayer nos palais.
J’ai choisi justement le village de Al Minya (المنيا), car il se trouve non loin de la capitale et des pyramides, et qu’en plus de cela, il est suffisamment enfoncé dans les terres, dans des territoires où l’on peut apprécier le cadre de vie véritable de ce pays qu’est l’Égypte.
Nous allons pouvoir ainsi réellement nous fondre dans la culture de cette partie du monde, sans trop être rattaché aux valeurs modernes des systèmes sommes toutes trop technologiques, ou du cadre touristique. ».
- « Hey mais il faut que tu arrêtes d’avoir de trop bonnes idées comme ça toi, je vais finir par ne plus jamais vouloir me séparer de toi. Hihihi ! ».
- « Eh eh ! Je n’y peux rien, c’est peut-être ta fraîcheur de vie qui m’y inspire. ».
Amîha lui retourna l’expression de cet élan du cœur avec un léger sourire, et un délicieux scintillement dans la prunelle de ses yeux qui en disait long.
Sur ces mots, elles retournèrent dans l’habitacle de leur lieu de résidence, et commencèrent à se préparer pour s’en aller trouver un endroit pour souper.
Elles se parèrent toutes deux de robes souples et lumineuses qui les faisaient se confondre dans le décor. Ces parures étaient d’un ton ambré porté sur le rosacé, dont le rayonnement les confondait avec un bouquet de fleurs fraîchement cueillies, leur donnant un teint épanoui et lumineux.
Sortant de cette résidence, elles s’arrêtèrent dans le silence de la vie et contemplèrent le Soleil couchant qui se reflétait sur les eaux. Elles s’observèrent toutes deux dans leurs apparats, et, d’un air satisfait, s’en allèrent trouver un restaurant dans les ruelles de ce petit village.
L’odeur du sable chaud se rafraîchissant sous la présence de la légère brise qui venait du fleuve, ne manquait pas de leur donner un goût exotique dans ces instants.
Arrivant devant une devanture éclairée par quelques cotillons éparpillés çà et là, elles se concertèrent du regard, et l’approbation ne demanda plus de réflexions. Entrant dans cette auberge illuminée, elles prirent siège tout en contemplant les décorations de cet environnent. Il semblait que ce lieu leur était appréciable, et qu’elles pourraient s’y sentir à l’aise.
Finièce « On est bien là non !? Qu’est-ce que tu en penses ma chérie ? ».
- « Eh bien, nous verrons bien mam. Pour le moment on a plutôt l’air d’avoir bien choisi. Je trouve cet endroit exquis. Cette décoration me parle beaucoup. J’ai comme le sentiment de me sentir chez moi. ».
- « Parfait alors, je pense qu’on a trouvé ce qu’il nous fallait. ».
Un serveur s’approcha d’elles avec le sourire.
- « Bonsoir mesdemoiselles, en quoi puis-je vous être agréable ? ».
Finièce « Eh bien je pense que vous nous serez agréable, en nous accordant le plaisir de nous faire découvrir des spécialités de votre région. Ma progéniture et moi-même aimerions découvrir des plats qui vous touchent tout particulièrement. Que nous proposeriez-vous ? ».
- « Très bien ! Nous allons vous être agréables alors. Nous vous proposons une spécialité de cette région-ci que beaucoup parmi nous apprécient, le kochery.
C’est un plat qui est composé par un mélange de riz et de lentilles brunes, de macaronis, de quelques bouts de spaghettis et de quelques oignons frits, le tout arrosé d’un peu de sauce tomate, et relevé de quelques gouttes de sauce pimentée. Ou d’une autre sauce à l’ail, c’est au choix. Mais je vous conseille la sauce pimentée qui sera plus agréable en fin de soirée.
Accompagnant ce plaisant plat, je vous propose également une mouloukhia. ».
Finièce « Qu’est-ce donc ? ».
- « C’est une soupe un peu gluante que nous servons avec du riz et du poulet grillé. Nous pouvons l’agrémenter à votre convenance avec ou sans riz ou poulet, au cas où vous ne désiriez pas consommer ces produits en plus du reste. ».
- « Oh non ça sera parfait je pense. Tu en dis quoi ? », demanda-t-elle à Amîha qui regardait la carte pendant ce temps.
- « Moi je dis que ça me met l’eau à la bouche. Hihihi ! ».
- « Alors faites très cher, nous prendrons cet ensemble en deux formules complètes. ».
- « Très bien chère matrice, votre volonté sera grandement satisfaite par nos services. Et je tiens à vous transmettre le plaisir que nous avons tous à vous accueillir dans notre auberge.
Sans vouloir trop m’immiscer, nous avons perçu les valeurs de vos auras, et comprenons quelles sont vos qualités. En dire plus de mots serait inutile dans l’absolu. », termina-t-il en exécutant une sorte de révérence. Puis il s’en alla en direction des cuisines en terminant sa phrase de cette manière épicée, « Les mets que nous allons vous faire découvrir vous accorderont la richesse qui nous anime dans ce pays. Puissiez-vous y trouver les éléments qui pourront vous mettre en accord avec nous-mêmes. ».
Elles le regardèrent partir en direction des fourneaux tout en écoutant ses formulations d’un air attentif et interrogatif, sans trop montrer d’appréciation à cela.
Finièce tourna la tête vers Amîha qui persistait à le regarder s’en aller.
On perçut sur les traits du visage de Finièce qu’elle avait compris que cet homme devait être un érudit, pour arriver à apprécier ce qu’elles dégageaient, et le possible intérêt qu’il exprimait par l’appréciation de leur présence en ces lieux.
Amîha ne semblait pas réellement comprendre cependant ce qui se présentait ici, mais elle remarqua autre chose qui avait absorbé son attention, et qui l’avait détaché totalement de cette formulation première.
Finièce observa autour d’elle les quelques personnes qui siégeaient dans cette auberge. La plupart étaient déjà en plaine dégustation des plats de pays, que semblaient préparer les cuisiniers de ce lieu de restauration.
Elle ne pouvait s’empêcher de songer à Jérôme dans ce genre d’instant. Elle se remémorait à quel point elle avait pu apprécier toujours les moments partagés avec lui dans ce genre de circonstance. Il savait toujours trouver des endroits qui émerveillaient Finièce, et elle portait en elle ce plaisir au fond de son cœur.
Finièce « Tu sais ma chérie, je songe à ton patrite(père). Il aurait sûrement été ravi de se trouver ici avec nous dans ce petit restaurant. Je pense qu’il doit être avec nous plus que dans les pensées. ».
Amîha ne répondait pas à ces formulations. Interloquée de rester sans retour, Finièce tourna la tête dans sa direction, et elle remarqua que sa progéniture semblait avoir une intention prononcée pour quelque chose qu’elle n’avait pas remarqué.
Derechef*, elle percevait qu’une chose avait l’air de la perturber comme pour la fois où, sur la plage de Biarritz, elle se vit stoppée dans son élan.
*Derechef : Signifie « de nouveau, une fois encore, une seconde fois ».
- « Tout va bien ma chérie !? », reprit-elle.
- « Oui tout va parfaitement bien mam ! Mais dis-moi, tu as vu ce jeune homme charmant qui me regarde avec insistance par là-bas ? ».
- « Euh non ! », lui fit-elle d’un air étonné.
- « Il me fixe avec des yeux d’amour, ça me fait fondre. Hihihi ! ».
- « Oh toi, tu craques encore pour une belle plante exotique. », lui répondit sa mère avec amusement et un regard complice.
- « Peut-être oui ! », lui chuchota Amîha, « Mais chut...! il ne faut pas que cela se remarque. ».
- « Que ça se remarque !? », Finièce ne comprenait pas trop ce qu’elle voulait dire.
- « Bah oui, il ne faudrait pas qu’il ait le sentiment au loin qu’il a gagné mon cœur trop rapidement. ».
- « Oh comme tu es mignonne. Tu joues la carte de la séduction en réserve de te dévoiler complètement. Mais dis-moi, on dirait que tu as très rapidement acquis les manières de faire des belles dames de ce monde. ».
- « Hihi oui peut-être. », lui fit-elle avec un sourire aux dents écarlates.
Finièce observa du coin de l’œil ce jeune homme comme pour faire mine de ne pas faire attention - quelle bonne actrice -, puis elle lui répondit.
- « Tu as très bon goût ma chérie, un très beau jeune homme. ».
- « Euh tu sais, je n’ai rien choisi moi. J’ai juste remarqué son regard persistant à mon égard, je n’ai rien provoqué. ».
- « Ou presque. », lui rétorqua Finièce. « Tu sais avec la délicieuse femme que tu deviens, les hommes ne peuvent que se retourner sur toi pour apprécier ton apparence et tes formes. ».
- « Oui je me doute, mais j’espère que les hommes savent faire en sorte de ne pas simplement s’arrêter à cela. ».
- « Alors là tu sais, on ne peut savoir ce qu’il se passe dans l’esprit d’un homme qui nous observe. Même en essayant de lire dans son regard, on pourrait être trompé par la puissance de séduction qu’ils opèrent sur nous. ».
- « Je pense que je saurais très rapidement arriver à déceler les faux semblants tu sais. ».
- « Ah oui je n’en doute guère, vu les qualités que tu as de plus en plus. Tu as tellement rapidement affiné tes vibrations ces derniers temps, que je ne suis pas en mesure de pouvoir comprendre dans quelle circonstance de perception tu peux te trouver. ».
- « Je te le dirais lorsque je bloquerais sur une situation, car je sais que tu sauras m’aiguiller avec justesse et sagesse. ».
- « Oh ! merci du compliment. ».
Le serveur revint avec les plats qu’elles avaient partiellement choisi, et les déposa à l’aplomb de leurs couverts. Amîha lâcha son attention qui était axée sur ce jeune égyptien, puis elle prit ses couverts pour entamer le plat. Son estomac ne demandait plus que ça.
Finièce s’adressa au serveur pour glaner* une simple information.
*Glaner : Recueillir des informations ici et là.
Finièce « Dites-moi très cher ! ».
- « Oui ! que puis-je de plus pour vous ? », répondit le serveur.
- « Pourriez-vous me dire qui est ce jeune homme qui est posté en face de nous ? ».
Amîha se mit à rougir d’un coup, puis s’esclaffa en messe basse.
- « Mam !! Mais qu’est-ce que tu fais ? ».
Elle semblait gênée par la question de sa mère.
Sa mère la regarda avec un grand sourire, alors que le serveur commençait à lui répondre sans émettre de réflexion de sa part.
- « Ce jeune homme est le neveu d’une de nos cuisinières. Il vient ici de temps à autre pour nous aider lorsque nous avons une grande charge de clients, afin que le service soit plus efficace. ».
- « C’est gentil de sa part. Et il se nomme comment ce jeune homme avenant ? ».
Amîha ne savait pas où se mettre, elle plongea sa tête au-dessus de son assiette et se mit à manger, faisant une mine désintéressée.
Le serveur « Il se nomme So’anñ. ».
Il regarda dans sa direction puis retourna la tête dans la direction de Finièce, puis il observa Amîha et crut comprendre ce qu’il se passait. Il fit un sourire en coin et mit un terme à cet échange, en demandant si d’autres choses pourraient les satisfaire.
- « Puis-je vous apporter d’autres choses pour votre souper, comme quelque chose qui pourrait vous désaltérer ? ».
Finièce « Volontiers ! Vous nous proposez quoi par exemple ? ».
- « Nous avons à disposition de l’eau citronnée tiède ou fraîche, ou encore des thés de la région. ».
- « Ah je pense que l’on va opter pour le thé. Tu en veux un Amî ? ».
- « Euh oui… …oui oui je veux bien merci. ».
Elle semblait encore très gênée par la situation.
Le serveur « Préférez-vous un thé rouge noir ou vert ? ».
- « Deux thés vert feront l’affaire. », répondit Finièce.
- « Eh bien c’est noté, je vous enverrai So’anñ pour vous les servir alors. ».
Amîha « Mais !... ».
Le serveur la regarda, elle n'exprima aucun mot de plus et retourna dans son assiette. D’un air interrogatif à son égard, il tourna la tête en direction de Finièce qui lui fit signe de laisser courir. Il s’en retourna à son service sans prêter plus d’attention à la situation.
Finièce regarda Amîha et lui tint ces quelques mots avant d’entamer son assiette elle aussi.
- « Tu m’as l’air contrariée ma chérie. Pourtant sur le nef tu étais plutôt sûre de toi avec Charliane. ».
Amîha la regarda d’un air interrogé. Elle tourna la tête pour observer le serveur qui s’en allait puis répondit.
- « Oui je sais mais ce n’est pas pareil. Là je me sens investi par une attention que je n’attendais pas, je ne saurais pas quoi faire ou quoi dire si il vient. ».
- « Eh bien tu n’auras cas faire comme d’habitude, faire mine de maîtriser la situation. », lui fit-elle accompagné d’un clin d’œil.
- « Tu n’es pas croyable mam, toujours tu me fais des trucs totalement inattendus. J’aurais dû ne rien dire et attendre de voir venir finalement. ».
- « Oh tu ne vas pas m’en vouloir tout de même ? ».
- « Oh non non pas du tout, rassures toi, je ne dis pas ça dans ce sens. C’est juste que je ne m’attendais pas à ça, et que j’aurais peut-être préféré de moi-même gérer ce genre de situation. ».
- « Ah oui je vois. Mais ce n’est pas grave, c’est l’impulsion qui m’a projeté dans cette question. Je ne savais même pas moi-même que je poserais une telle question. Je fus tout autant étonnée que toi à vrai dire. ».
- « Alors mettons ça sur le compte de l’impulsion. », lui répondit Amîha en glissant un léger sourire.
Elles reprirent leurs couverts, et continuèrent de déguster ces quelques plats en partageant entre-elles ce qu’elles en appréciaient.
À un moment où elles ne s’y attendaient plus, qu’elles étaient tellement absorbées par ce qu’elles exprimaient dans ces délices, le jeune serveur s’en vint à elles en apportant les thés tièdes. Elles ne l’eurent remarqué que lorsque celui-ci déposa les verres enfoncés dans leurs coques en bois léger sur la table, en exprimant ces quelques mots propres au service.
So’anñ « Voici le reste de votre commande. Vous faudrait-il autre chose pour votre bon plaisir ? », demanda-t-il.
Amîha leva la tête comme subjuguée, elle ne pouvait prononcer mots. Finièce la regarda simplement, un laps de temps se passa avant qu’elle ne daigne ouvrir la bouche. Alors Finièce tourna la tête vers le serveur, voyant qu’une sorte de malaise était en train de s’instaurer, et lui répondit.
Finièce « C’est bon pour le moment très cher, merci pour vos soins, et merci de votre présence. ».
Amîha se décoinçant un peu lui glissa un léger sourire alors qu’il se retournait pour s’en aller.
So’anñ « Très bien, alors nous vous souhaitons bien du plaisir dans ces dégustations. », finit-il en regardant Amîha.
On pouvait largement percevoir qu’un scintillement se reflétait dans les yeux de ces deux Êtres au début de cette rencontre, et Finièce était réjouie de cela.
Finièce « Il m’a l’air d’être un garçon très bien élevé. », dit-elle en le regardant partir.
- « Oui il est charmant, mais restons-en là pour le moment si tu le veux bien mam. ».
- « Oui pas de souci, continuons à apprécier cet instant entre nous, tu as raison. ».
Fin de l'extrait. Merci de m'avoir lu. 😊
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